Permettre aux adhérents d’être hospitalisés sans se préoccuper des prises en charge ; les orienter vers des solutions de prévoyance adaptées… Pour Jeanne Ségura, directrice de la Fraternelle des territoriaux, à Grenoble, « le métier mutualiste est un artisanat et un travail d’équipe
Permettre aux adhérents d’être hospitalisés sans se préoccuper des prises en charge ; les orienter vers des solutions de prévoyance adaptées… Pour Jeanne Ségura, directrice de la Fraternelle des territoriaux, à Grenoble, « le métier mutualiste est un artisanat et un travail d’équipe. Nous sommes huit personnes, polyvalentes, qui intervenons dans la proximité ». La mutuelle s’appuie aussi sur plus de quatre vingts ans d’histoire militante, dont est garant un conseil d’administration de quinze membres, présidé par Michel Vanotti et par Pascal de Sousa Moreira, vice-président. Beau symbole, la Fraternelle est née en 1936, en même temps que les congés payés. A partir de 1946 et jusqu’en 2014, elle épouse la cause de l’assurance maladie, devenant section locale Sécurité sociale. « Cette expérience a apporté une plus-value à notre presta tation, souligne la directrice. Elle nous a donné une expertise pour bien appréhender le parcours de soins dans sa globalité. Ce qui offre la tranquillité d’esprit dont ont besoin nos adhérents, les territoriaux, qui s’occupent eux-même beaucoup des autres ! » A la tête de la mutuelle depuis deux ans, Jeanne Ségura mise sur une communication modernisée et, surtout, sur une équipe plurielle, de tous les âges : « Ces générations diverses permettent de nouer de nouveaux contacts, dans la proximité. Et nous ne nous contentons pas de bien faire notre métier, nous accompagnons les gens dans la solidarité. » Une équipe pour qui les valeurs de la mutualité ne sont pas que des mots… Née dans l’agglomération grenobloise, la Fraternelle des territoriaux est aujourd’hui adossée au groupe Entis Mutuelles qui compte plus de 400 000 personnes protégées dans la France entière. l
Florence Roux