En cette Journée du 15 février, consacrée aux cancers de l’enfant, les spécialistes misent tout sur la recherche médicale pour lutter contre les effets secondaires des traitements entre autre.
Aujourd’hui 15 février, a lieu la Journée internationale du cancer de l’enfant. L’occasion de rappeler que 2 500 nouveaux cas sont dénombrés chaque année et qu’il représente la seconde cause de mortalité chez l’enfant et l’adolescent, avec plus de 500 morts par an en France.
La recherche est l’axe prioritaire
Les spécialistes misent tout sur la recherche pour accompagner les enfants et les familles. Et surtout, lutter contre les effets secondaires des traitements et les séquelles (fertilité, etc.). Car, les cancers pédiatriques diffèrent de ceux de l’adulte par leurs caractéristiques. Le taux de survie est élevé (à 5 ans plus de 80 %), mais les séquelles et les effets secondaires sont nombreux.
Plusieurs projets de recherche sont soutenus par les associations comme la Ligue contre le cancer, avec des objectifs différents : identifier les paramètres génétiques « favorisant le développement ou l’apparition de récidives ou analyser les complications survenant après traitement, notamment après une radiothérapie, pour en déceler plus efficacement la survenue et, surtout, aider les médecins à mieux les éviter ».
L’association Gravir, réunissant des professionnels de santé, des associations de patients et de parents, des fondations de recherche sur le cancer et des mouvements de sensibilisation citoyenne, propose que les cancers de l’enfant soient la grande cause nationale 2019. Elle a remis remis officiellement le 24 janvier sa candidature au Premier ministre.
Si vous voulez aider les associations :