Santé Mut-Roanne : Clos Saint-Gildas, ouverture imminente !

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Les résidents logeront dans un ancien couvent datant du XVIIe siècle. ©Vincent Poillet

La résidence seniors mutualiste de Charlieu ouvre à la mi-octobre. Les premiers locataires ont hâte de s’y installer.

« Nous avons vieilli. Ici, on va s’occuper de nous, dans un lieu sympa. C’est vraiment super ! » Pierre et Michèle Thévenet, qui résidaient dans un pavillon à Ampuis (Rhône), seront parmi les premiers à s’installer au Clos Saint-Gildas, à Charlieu (Loire), dès le 15 octobre. Cette résidence services pour seniors autonomes, propose 94 appartements meublés à louer, dans un ancien couvent du XVIIe siècle. Le fruit d’un projet mutualiste unique en son genre, né de la volonté de Santé Mut Roanne, avec la participation de plusieurs mutuelles.

« Nous avons visité les lieux pendant les travaux et cela nous a plu. A 88 ans, je n’ai plus la force. Mon frère et son fils médecin nous en ont parlé aussi », poursuit Pierre, Champenois d’origine. « Avec ma femme, native de la Loire, nous avons connu quelques soucis de santé et n’avons pas hésité. Une foule d’activités sera proposée. Il y aura une chambre d’hôtes pour héberger des amis. On sera bien. »

Un site chargé d’histoire

Seule dans une maison éloignée du bourg à Belmont (Loire) depuis le décès de son mari en 2019, Anne-Marie Michel ne s’y voyait pas vieillir. En consultant le site du Clos Saint-Gildas, elle aussi a été conquise. « A 84 ans, je conduis encore. Mais si je perds ma mobilité, je ne veux pas que cela pèse sur mes deux enfants. Ce que propose la résidence me convient très bien. J’y ai beaucoup réfléchi depuis un an. C’est l’idéal, d’autant que ma petite-fille et son ami ont racheté ma maison. »

Au cœur d’un site chargé d’histoire, Anne-Marie vivra dans un appartement F2 mansardé, près d’un parc et d’un village de caractère connu et apprécié de nombreux amis. L’éventail des prestations proposées a aussi compté. « Une page se tourne. Il faut vivre pleinement les pages qui restent à ouvrir », conclut-elle.

Jean-François Vaizand – Photo © Vincent Poillet